Conseils et ressources

• Au crayon, à l'adhésif de masquage, avec un carton découpé, il est nécessaire de matérialiser sur la partie qui sera filmée ce qui sera en dehors du cadre et dans le cadre, pour savoir ce qui sera caché et ce qui sera réellement filmé.

• Et ne plus jamais la toucher ! (sauf si vous changez de plan bien-sûr 😉)

• Pour un travail filmé en intérieur et qui ne prend pas pour cadre la pièce, il est important de cacher la lumière naturelle : la lumière naturelle va forcément varier et rendre les images de votre film éclairées de manière non homogène.

• L'éclairage est l'ami des films, en stop motion ou pas. Éclairer artificiellement est souvent une bonne idée : cela gommera des ombres, donnera plus de relief et d'éclat à vos sujets.

• Faites attention à votre corps, à vos bras, à votre tête qui peuvent porter des ombres maléfiques sur votre plan de travail.

• N'attendez pas la fin de votre film pour y faire attention.

• La pâte à fixer est votre amie : abusez-en et fixer le décor, le support de la caméra, etc.

• Désactivez les réglages automatiques ; prenez le temps de régler manuellement l'image une fois pour toute en début de projet.

• L'autofocus et les autres réglages automatiques vont perturber votre rendu.

• Plus les écarts seront faibles et plus l'animation sera fluide ; mais plus il y aura d'images... Mieux vaut dans les premiers temps, avant de maîtriser ses actions, multiplier les mouvements quitte à augmenter la vitesse ou à supprimer des images.

• Un des petits plus qui fera la différence est de réfléchir son cadrage, la place du décor, des personnages, la lumière, etc.

L'instance Peertube de l'Éducation nationale vous permet d'héberger vos vidéos :

• Gratuitement

• En toute sécurité

• En garantissant la confidentialité des données

• Quel(s) objectif(s) ?

• Quelle(s) compétence(s) travaillées ?

• Quelle autonomie pour les élèves ? Histoire, scénarimage, tournage, montage, post-production, etc.

• Quelle exploitation du film ?

• Quelle évaluation ?

1. Imprégnation culturelle

2. Écriture du scénario

3. Réalisation du scénarimage

4. Choix de la technique d'animation

5. Choix/création des éléments apparaissant dans le film

6. Prise de son (bruitages, musique, dialogues)

7. Prise de vue

8. Montage (éventuellement)

9. Diffusion

Les mini documentaires de la série Les leçons de cinéma produite par OCS illustrent différentes techniques transposables aux films d'animation image par image.

• En plusieurs temps ;

• En demi-classe (besoin des élèves d'être accompagné·es, guidé·es, rassuré·es) ;

• Avec une restitution à chaque heure ;

• Plus de temps si on le partage avec un·e collègue ;

• 1 scénario partagé en co-animation : plusieurs séquences et répartition en groupes des élèves

• Commencer par des techniques moins chronophages : pixilation d'humains, déplacement d'objets simples (peluches, figurines, papier, dessins additifs au tableau)

• les espaces de travail

• les supports

• les objets à animer

• (la lumière)

• demander aux élèves d'installer l'appli avant la séance

• Partage et recueils des films

• Avoir des tablettes ou des téléphones

• Installation des applis

• Travail au minium en binôme (plus fluide pour faire attention aux ombres, aux mains qui traînent dans le cadre, pour appuyer sur le bouton de déclenchement des photos, etc.)

• Peut-être peupler sa classe avec des matériaux pour éveiller la créativité des élèves ?

• Les chefs d'œuvre (voire simplement créer le titre des chefs d'œuvre, comme une bande-annonce avant la lecture) ;

• Les fins d'années (restitutions de lectures par exemple) ;

• Les mots-clés (en histoire) ;

• Les mots de la leçons, les règles de conjugaison, etc. (en langue vivante)