Quelques jeux et activités

Une courte activité pour connaître les prénoms et quelques informations sur les personnes avec mise en mouvement.

En cercle, les membres du groupe vont se classer par ordre alphabétique (un repère est donné pour le A) en fonction de consignes : prénoms, lieu d’où l’on vient, ce que l’on fait, notre activité préférée, etc.

Les personnes vont devoir échanger pour pouvoir se situer dans le cercle.

Quand les personnes sont classées, on fait un tour du cercle pour entendre ce qui fait qu'elles sont à cet endroit du cercle : elles vont donc donner à tout le groupe l'information correspondant à la consigne (prénom, activité, etc.)

On définit avec le groupe une orientation Nord/Sud et Est/Ouest ainsi qu’un point central servant de référence.

Chacun·e part ensuite se placer spatialement en fonction des questions posées :

• Où est-ce que j'habite ?

• Où est-ce que j'ai travaillé ?

• Où suis-je né·e ?

• Où ai-je passé mes dernières vacances ?

• Etc.

En amont, récupérer 2 ou 3 informations caractéristiques de chaque participant qu'ils veulent bien partager au groupe.

• Chaque participant·e reçoit la même fiche faite de cases où sont inscrites différentes affirmations (une affirmation par case).

• Pour chaque affirmation, il s’agit de trouver individuellement dans le groupe une personne pour laquelle l’affirmation est vraie.

• Chaque participant·e s’adresse donc aux personnes de son choix pour compléter sa fiche. Une fois la personne trouvée, on note son nom dans la case adéquate. On ne peut pas inscrire son propre nom, mais un autre nom peut se retrouver plusieurs fois dans la fiche (on peut aussi, à l'inverse, si le nombre de participant·es est conséquent, demander à ce qu'une même personne n'apparaisse que dans une seule case).

• Le·la premier·ère qui a complété une ligne ou une colonne ou la fiche a gagné et met potentiellement fin au jeu.

Chaque personne reçoit un petit bout de papier avec un numéro et doit y écrire une anecdote qui lui est arrivée (on peut thématiser le champ des anecdotes : dans le cadre professionnel, dans telle pratique, …). Chacun·e reçoit aussi une feuille de papier avec des rectangles contenant chacun un numéro (correspondant aux numéros d'anecdotes). Les petits papiers avec les anecdotes sont collés un peu partout dans la salle. Les participant·e·s se promènent dans la salle, lisent les différentes anecdotes et doivent aller trouver les autres pour leur demander : est-ce que c'est toi qui...?.

Quand les participants ont trouvé la bonne personne pour une anecdote, ils écrivent son nom dans le rectangle sur leur feuille avec le numéro de l'anecdote.

Suivant le temps, on peut faire un retour collectif pour ré-identifier les personnes, et éventuellement demander des précisions concernant les anecdotes.

Une courte activité pour connaître les prénoms et quelques informations sur les personnes avec mise en mouvement.

En cercle, les membres du groupe vont se classer par ordre alphabétique (un repère est donné pour le A) en fonction de consignes : prénoms, lieu d’où l’on vient, ce que l’on fait, notre activité préférée, etc.

Les personnes vont devoir échanger pour pouvoir se situer dans le cercle.

Quand les personnes sont classées, on fait un tour du cercle pour entendre ce qui fait qu'elles sont à cet endroit du cercle : elles vont donc donner à tout le groupe l'information correspondant à la consigne (prénom, activité, etc.)

On définit avec le groupe une orientation Nord/Sud et Est/Ouest ainsi qu’un point central servant de référence.

Chacun·e part ensuite se placer spatialement en fonction des questions posées :

• Où est-ce que j'habite ?

• Où est-ce que j'ai travaillé ?

• Où suis-je né·e ?

• Où ai-je passé mes dernières vacances ?

• Etc.

En fonction des consignes, les membres du groupe vont former des sous-groupes pour répondre aux critères énoncés : goûts, pratiques d’activités, ancienneté dans une pratique…

On peut passer par un moment d’explicitation par les membres du groupe concernant leur positionnement, en fonction des critères énoncés.

S’il n’y a pas besoin d’explicitation, on laisse un temps court entre chaque consigne pour permettre à chacun·e de visualiser la configuration des groupes en fonction des critères énoncés.

Cette activité peut être réalisée à distance, à l'aide d'un mur de post-it collaboratif plus ou moins évolué (Scumblr, Lino it, tableau blanc dans certaines application de visioconférence, ... voire Mural ou Miro).

L'animateur·trice aura préparé des colonne ou zones sur l'espace collaboratif ou les prépare en cours d'activité (suivant les possibilités de l'outil en ligne), correspondant aux critères de regroupement.

Les participant·es utilisent alors de Post-it pour y inscrire leur prénom (ou nom), puis les positionnent dans les espaces adaptés en fonction des consignes.

Comme en présentiel, suivant les objectifs de l'activité, on laisse plus ou moins de temps pour l'expression des participant·es.

Par deux, on va chercher un point commun visible de tou·te·s ainsi qu’un point commun non visible. Chaque binôme partage ensuite au groupe ce qu’il·elle·s ont identifié.

Les participant·es forment deux cercles : un à l'intérieur et l’autre à l'extérieur. Des situations de face-à-face sont ainsi provoquées. Chaque binôme dispose d'1 minute pour se trouver un point commun non-apparent (ça ne peut donc pas être « nous avons tous les 2 des cheveux longs » ou « nous portons tous les 2 des lunettes »).

Puis on déplace le cercle extérieur vers la gauche et on recommence. On peut donner des thèmes à chaque fois ou non (chanson, cinéma, famille, politique, école ...).

En amont, préparer une fiche sur laquelle est tracée une grille (entre 16 et 30 cases suivant le nombre de personnes), contenant des affirmations sur des caractéristiques potentielles des participant·es. Ces affirmations peuvent être plus ou moins larges ou plus ou moins précises suivant la connaissance que l'on a des membres du groupe et/ou de l'hétérogénéité du groupe.

• Chaque participant·e reçoit la même fiche faite des cases où sont inscrites différentes affirmations (une affirmation par case).

• Pour chaque affirmation, il s’agit de trouver individuellement dans le groupe une personne pour laquelle l’affirmation est vraie.

• Chaque participant·e s’adresse donc aux personnes de son choix pour compléter sa fiche. Une fois une personne trouvée, on note son nom dans la case adéquate. On ne peut pas inscrire son propre nom, mais un autre nom peut se retrouver plusieurs fois dans la fiche (on peut aussi, à l'inverse, si le nombre de participant·es est conséquent, demander à ce qu'une même personne n'apparaisse que dans une seule case).

• Le·la premier·ère qui a complété une ligne ou une colonne ou la fiche a gagné et met potentiellement fin au jeu.

Les personnes sont en cercle (assis ou pas - si on est debout, il faut un moyen pour repérer les places). Une personne est au milieu du cercle, n’a pas de place, et cherche à en récupérer une.

Pour cela, elle va annoncer “Avis de tempête sur …” et énonce un critère : un critère visible (“les personnes qui portent un jean…) ou non visible (“les personnes qui ont déjà fait des colos…”).

Autre consigne : Pour cela elle va annoncer “J’aime …” ou “Je n’aime pas…” (goûts, activités, animaux, idées, …). Les personnes qui partagent ce goût ou dégoût vont devoir changer de place, la personne initialement au milieu en profite pour en trouver une.

Une fois l’avis lancé, les personnes correspondant au critères doivent changer de place, la personne initialement au milieu en profite pour en trouver une.

Une nouvelle personne se retrouve alors sans place et lance un nouvel avis de tempête ou un nouveau “J’aime …” ou “Je n’aime pas…”, etc.

Les personnes sont en cercle. Une personne va faire un pas en avant et poser la question “Qui comme moi a … ?” en donnant ainsi une information sur elle, son vécu (pas de goût). Les autres personnes du cercle partageant le critère énoncé vont alors avancer d’un pas en annonçant “moi”.

Chaque personne a une feuille A4, sur laquelle 4 cases sont repérées. Dans chacune des cases, on va inscrire une information sur soi. Parmi ces informations, 3 sont justes et 1 est fausse.

On va ensuite à la rencontre des autres personnes du groupe, puis on va marquer une croix dans la case que l’on pense être un mensonge sur les feuilles des autres participant·e·s.

Suivant le temps dont on dispose, on peut permettre de poser quelques questions (évidemment pas directes), pour essayer de cerner le mensonge.

On fait ensuite un retour en grand groupe et chacun·e indique si son mensonge a été découvert ou non.

Suivant le temps, on peut dire quelques mots sur les informations justes.

Jeu de présentation par deux, chacun·e va prendre un court temps pour se présenter à l’autre (on peut flécher les éléments de présentation : notre parcours, nos goûts, pourquoi on est là …). Attention, les éléments doivent être simples.

Une fois que chacun·e s’est présenté à l’autre, on se retrouve en grand groupe et chacun·e va présenter l’autre (d’où l’intérêt des éléments simples) : on peut soit présenter l’autre à la troisième personne “je vous présente …, elle·il …” ou “jouer” en se mettant dans la peau de l’autre “je m’appelle …”.

Chaque personne reçoit un petit bout de papier avec un numéro et doit y écrire une anecdote qui lui est arrivée (on peut thématiser le champ des anecdotes : dans le cadre professionnel, dans telle pratique, …). Chacun·e reçoit aussi une feuille de papier avec des rectangles contenant chacun un numéro (correspondant aux numéros d'anecdotes). Les petits papiers avec les anecdotes sont collés un peu partout dans la salle. Les participant·e·s se promènent dans la salle, lisent les différentes anecdotes et doivent aller trouver les autres pour leur demander : est-ce que c'est toi qui...?.

Quand les participants ont trouvé la bonne personne pour une anecdote, ils écrivent son nom dans le rectangle sur leur feuille avec le numéro de l'anecdote.

Suivant le temps, on peut faire un retour collectif pour ré-identifier les personnes, et éventuellement demander des précisions concernant les anecdotes.

[à venir]

Source Utilo, CC-BY-SA

Cet exercice brise-glace invite le groupe à se glisser dans la peau d’un ramoneur de nuage ou d’un relieur de personnalité pour présenter ses qualités de manière sensible et sortir du jargon pour parler de son travail d’une autre manière.

• Disposer sur une table les cartes « Crazy jobs ».

• Proposer au groupe de venir prendre connaissance des cartes et de choisir le métier fou qui correspond le plus à chacun d’eux.

• Demander à chaque personne de donner son prénom puis de présenter son travail fou en expliquant quelles compétences et qualités (réelles) lui permettent d’être très bon dans ce métier inventé.

• À l’issue de cette présentation positive et drôle, il explique brièvement son métier réel et propose à une autre personne de présenter à son tour son métier fou.

• Cet exercice permet au groupe de faire un travail d’imagination propice à la créativité. Il propose à chacun d’appréhender son travail d’un point de vue positif et décalé.

• À utiliser au début d’un atelier pluridisciplinaire où des professions différentes collaborent.

Il s'agit d'une activité de présentation de soi à un groupe.

Elle peut être plus ou moins impliquante suivant les consignes données par l’animateur·trice.

Chacun·e reçoit un support ayant la forme d’un blason dont l’intérieur aura été séparé en autant de consigne que souhaité.

Chaque case ainsi définie recevra une réponse à une consigne permettant de se présenter. Les consignes peuvent être plus ou moins larges ou précises et appeler une réponse plus ou moins personnelle suivant l’objectif poursuivi et la nature du moment ou de la formation. (Sur une formation longue, on peut demander des éléments personnels, dans la mesure où les personnes vont être amenées à faire plus ample connaissance, dans une formation courte, il n’est pas utile de rentrer dans les détails).

Les consignes peuvent avoir été inscrites à l’avance dans les cases.

Un temps de préparation individuelle est laissé à chacun pour remplir le blason.

Une fois les blasons remplis, on procède à un tour collectif lors duquel chacun·e se présente à travers son blason.

Ils peuvent ensuite être affichés (notamment si le temps de retour est contraint et/ou si l’on sera amené à revenir sur leur contenu dans la suite de la formation) ou gardés par les personnes.

Exemples de consignes

• Le rapport à l’objet de la formation ou l’un des objets de la formation.

• Le parcours professionnel (en lien avec la formation ou pas).

• Des valeurs personnelles.

• Des éléments de vécu en lien avec l’objet de la formation (souvenirs, anecdotes, …)

• Des éléments type « portrait chinois ».

• Des éléments de définition personnelle de notions liées à l’objet de la formation.

• etc.

blason.pdf

[Descriptif à venir]

Outil disponible sur le site Communagir :

« Les plénières sont des incontournables dans la majorité des rencontres collectives où il y a plusieurs participants. En effet, dès que des travaux en petits groupes sont réalisés, il faut généralement se les partager collectivement pour arriver à les utiliser.

Lorsqu’il n’y a que deux ou trois groupes de travail, une plénière « traditionnelle » où chaque groupe a un temps donné pour présenter le fruit de son travail peut très bien fonctionner. Toutefois, dès qu’il y a plus de groupes, les plénières peuvent devenir longues, répétitives et lourdes. C’est là qu’intervient la plénière popcorn ! Elle permet de ramasser l’information rapidement, de façon dynamique et de ne pas répéter les mêmes contenus ad nauseam. Faisons « poper » les idées de partout ! »

Outil disponible sur le site Communagir :

« Il s’agit d’une activité de démarrage, principalement développée pour des événements collectifs d’une journée ou plus. Elle permet à la fois de donner un ton appréciatif à un événement, de reconnaître l’apport des différents secteurs d’intervention et au passage, de déconstruire quelques préjugés! Elle est particulièrement adaptée lorsque les participantes et participants ne se connaissent pas et ont peu d’expérience de travail ensemble ou encore quand il règne dans la collectivité un sentiment de méfiance ou des conflits entre les acteurs ou entre les secteurs d’activité (explicites ou non). »

• Engager les stagiaires dans l'acceptation du cadre de la formation

• Distribuer à chaque groupe les 5 éléments du puzzle et leur demander de le reconstituer ;

• Demander au groupe de compléter la partie vierge avec une valeur de leur choix sur le modèle des entrées se trouvant sur les autres pièces du puzzle - ils peuvent illustrer avec des dessins ;

• Partager la charte de chaque groupe en plénière et l'afficher sur le tableau du groupe afin qu'ils le conservent à l'esprit tout au long de la session.