Nous avons vu que la forme scolaire qui s'est majoritairement imposée (la méthode simultanée) a induit une logique architecturale qui a contraint la forme du bâti scolaire, des classes et de leur aménagement (y compris le mobilier), et in fine de la manière de les utiliser, tant pour les enseignant·es que pour les élèves.
Depuis un peu plus d'une vingtaine d'années, un certain nombre de rapports, d'études et de recherches se penchent sur les questions d'architecture scolaire et d'évolution nécessaire de celle-ci, y compris la forme scolaire.
Plusieurs facteurs sont pris en compte pour réfléchir cette nécessaire évolution.
Facteurs poussant à repenser l'architecture et la forme scolaire
Une considération pour le bien-être et de la qualité de vie à l'école
(notamment les questions de lumière, de chaleur, de bruit, de qualité de l'air, de mouvement, etc.)
Le climat scolaire
Les compétences du XIXe siècle et les pédagogies qui permettent de les travailler
L'apport des neurosciences et les études sur l'attention
La logique d'inclusion
La place du numérique